Inscrite dans la dénivellation du terrain, cette villa unifamiliale est composée de murs en crépi blanc et d'une toiture plate, éléments faisant partie du vocabulaire architectural de Marcel Leborgne. Un décrochage, organisé via une courbe, est réalisé sur la façade donnant sur la rue. La notion de paquebot, souvent abordée par les architectes modernistes, se retrouve dans cette réalisation, notamment dans les hublots pour les prises de jour dans les parties inférieures ainsi que dans les garde-corps métalliques. L'entrée est située sur le côté, intime, dans un volume ajouté à la volumétrie principale. Une large terrasse, soutenue par deux colonnes rondes, surplombe l'entrée du garage.
(voir aussi : Le Manoir du Chéniat ; Villa Dewez ; Villa Bailleux ; Villa Genval ; Villa Baussart ; Villa les Mésanges ; Villa du grand Chéniat ; Villa Famerée ; Le Grand Chéniat ; Villa Varlet-Dupuis ; Maison Stampe)
Irene Lund, Mélody Ben Haddou
Sources |
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Marcel Leborgne : un moderniste belge, en ligne http://www.marcelleborgne.be, consulté le 25/11/2017 |
Jean-François Kremer, Une analyse critique de la démarche de Marcel Leborgne, Bruxelles, ISACF La Cambre, 1988 |