L'architecte recherchait des locaux pour installer ses bureaux. Il a trouvé bien plus, dans un quartier où se succédaient les chancres, mais où plusieurs projets en cours annoncent un redéploiement économique, entre Sclessin et le Val Benoît.
Il a investi dans un bâtiment désaffecté (J. Bourguignon, ca 1949), puis deux, dans le but de les réhabiliter et de les préserver. Situées en bord de Meuse, barrées par une voie rapide, les deux anciennes usines (8 000 m²), bâties au début du siècle dernier, affichent un intérêt architectural certain.
L'intervention a permis de préserver l'âme des lieux. Muni d'un jardin ouvert, l'ensemble est aujourd'hui devenu un pôle économique permettant la mixité des fonctions : commerces, bureaux et logements. Un accent particulier a été mis sur l'utilisation de technologies respectueuses de l'environnement et économes en énergie.
| Sources |
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| L. Dubourg, «Immeuble pour bureaux industriels à Liège-Sclessin» dans La Technique des travaux, n° 1-2, janvier-février, 1949, p.2-8 |