Témoignant des premiers pas de Jean Poskin – architecte aux commandes des plus grandes réalisations de la promotion immobilière de l'après-guerre –, la maison abrite deux ménages, celui du commanditaire et celui de ses parents, qui occupent le dernier étage aménagé en appartement.
La façade présente quelques attentions décoratives discrètes, comme les deux consoles du premier étage et la jardinière en béton traitée en ressaut. Les boiseries et la cage d'escalier intérieures sont dessinées par l'architecte.
Sébastien Charlier